Oui, il y a 50 ans, étudiante en histoire de l’art, je débarquais à Gênes pour faire des recherches sur le peintre Alessandro MAGNASCO, sujet de mon mémoire. C’était en janvier 1961. J’étais accueillie dans la famille Anfossi dont le père était un ami dOncle Albert. Grâce aux différents consuls de Belgique, je fus introduite dans des collections particulières dont les collectionneurs ne possédaient pas uniquement des Magnasco mais bien d’autres maîtres. Dans les musées, j’eus la chance de pouvoir visiter les réserves et de poser des questions aux conservateurs. Mon italien était très primitif mais leur gentillesse et leur connaissance du français palliaient à tout.